Avant de proposer le Reiki comme outil de revitalisation, j’ai voulu comprendre ce qui nous vide vraiment de notre énergie.
Nous avons tous connu ces périodes où, sans raison apparente, tout devient lourd : le corps fatigué, le mental ralenti, la motivation en berne.
Les analyses médicales sont parfois normales, mais quelque chose en nous semble “débranché”.

En me formant au Reiki, j’ai découvert que la vitalité n’est pas qu’une affaire de sommeil ou d’alimentation : elle dépend aussi de la circulation fluide de l’énergie vitale — ce flux qui nourrit, relie et anime le corps.
Quand cette énergie stagne ou fuit, la fatigue s’installe.

Des études menées par l’Université de Yale (2020) ont montré que les soins énergétiques favorisent une amélioration significative de la vitalité perçue et de la récupération émotionnelle, notamment grâce à la réduction du stress oxydatif et de la tension nerveuse.

Toutes les fatigues ne se ressemblent pas.

• La fatigue physique est visible : effort, manque de repos, carence.
• La fatigue émotionnelle vient du trop-plein d’émotions non exprimées.
• La fatigue énergétique, plus subtile, survient lorsque le corps dépense plus qu’il ne reçoit — un déséquilibre entre donner et se nourrir.

Le Reiki agit sur ces trois plans en même temps.
Il ne force pas le corps à “produire” de l’énergie, il rétablit la capacité naturelle à en capter et à la faire circuler.
C’est un peu comme rebrancher un circuit intérieur dont les connexions se sont affaiblies.

Lors d’une séance, le Reiki agit directement sur les centres énergétiques (chakras) et les méridiens, en rétablissant une cohérence entre le haut et le bas du corps.
Les effets sont souvent immédiats : chaleur douce, légèreté, respiration plus profonde, clarté mentale.

Physiologiquement, cela correspond à une stimulation du système parasympathique, qui relance les fonctions de récupération et de régénération cellulaire.
L’organisme quitte le mode “alerte” pour revenir à un rythme équilibré.

Une étude publiée dans le Journal of Integrative Medicine (2021) a observé une hausse de 42 % du niveau d’énergie perçue et une nette amélioration de la concentration après un cycle de Reiki de quatre semaines.

À Marseille comme en Suisse, j’accueille souvent des personnes qui se disent “épuisées sans comprendre pourquoi”.
Le Reiki leur permet de retrouver leur élan, non pas en stimulant artificiellement, mais en redonnant au corps l’accès à ses propres ressources.

Les séances peuvent être ponctuelles, lors d’une période de stress ou de transition, ou intégrées dans un travail de fond, lorsque la fatigue est chronique.
Dans tous les cas, le corps retrouve peu à peu sa densité, son souffle, et cette sensation simple de se sentir vivant à nouveau.

Ce que j’aime dans le Reiki, c’est cette idée que la vitalité n’a pas besoin d’être “importée” : elle est déjà là, endormie sous les tensions.
La séance agit comme un levier, un rappel doux adressé au corps : “tu peux à nouveau respirer, te régénérer, rayonner.”

La plupart des personnes repartent avec un visage plus détendu, une sensation de clarté, un sommeil plus profond.
Et parfois, le changement est plus subtil : une paix intérieure nouvelle, un regain de curiosité pour la vie, une envie d’avancer.

Le Reiki n’ajoute rien, il redonne au corps ce qu’il avait oublié.
Retrouver sa vitalité, ce n’est pas devenir plus fort, c’est se reconnecter à cette lumière tranquille qu’on portait déjà.

Quand l’énergie circule à nouveau, le corps retrouve son rythme, le mental s’éclaire, et l’élan revient — pas comme une obligation, mais comme une évidence : celle d’être pleinement vivant.