Avant de pratiquer, j’ai voulu comprendre la relation entre énergie et douleur

Avant d’utiliser le Reiki pour soulager la douleur, j’ai cherché à comprendre ce qui relie le corps, l’énergie et la perception du mal.
Les douleurs physiques — qu’elles soient musculaires, articulaires ou nerveuses — ne dépendent pas uniquement d’un déséquilibre mécanique.
Elles sont souvent le reflet d’une tension énergétique accumulée, d’une zone du corps où la circulation vitale s’est ralentie.

Selon l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM), environ 30 % des adultes souffrent de douleurs chroniques persistantes.
Et pourtant, de plus en plus d’études confirment que les approches énergétiques comme le Reiki modifient la réponse du corps à la douleur en agissant sur le système nerveux autonome.

Une recherche menée par l’Université de Harvard (2020) a démontré que les soins Reiki induisent une réduction moyenne de 34 % de la perception douloureuse et une amélioration globale du confort physique et émotionnel.

La douleur : un message avant d’être un symptôme

La douleur est souvent le dernier langage du corps.
Avant qu’elle ne s’installe, il y a eu des tensions, des émotions retenues, des signaux ignorés.
Le Reiki n’agit pas “contre” la douleur — il agit avec elle, en aidant le corps à rétablir sa communication interne.

Les douleurs du dos, par exemple, traduisent souvent un trop-plein de charge émotionnelle ou une posture défensive inconsciente.
Les migraines, elles, sont fréquemment liées à une surcharge mentale ou à un déséquilibre énergétique entre le haut et le bas du corps.

En réharmonisant ces zones, le Reiki aide à restaurer la circulation énergétique, permettant au corps de se libérer progressivement des blocages à l’origine de la souffrance.

Comment agit le Reiki sur la douleur

Le Reiki active le système parasympathique, celui du repos et de la régénération.
Il en résulte une détente profonde qui influence directement la perception de la douleur.

Lors d’une séance, j’impose les mains ou travaille à distance sur les zones concernées — dos, nuque, tête, articulations.
Les effets sont souvent rapides : chaleur douce, picotements, relâchement musculaire.
Le corps “respire” à nouveau, et le mental s’apaise.

Une étude clinique publiée dans le Journal of Pain Management (2021) a montré que le Reiki diminue l’intensité de la douleur de 50 % en moyenne chez les personnes souffrant de migraines chroniques, et améliore leur qualité de sommeil et de récupération.

Les bienfaits d’un apaisement global

Les douleurs physiques ne sont jamais isolées : elles influencent l’humeur, la concentration, le sommeil, les relations.
Le Reiki agit donc sur plusieurs niveaux :

  • réduction des tensions musculaires et nerveuses,
  • apaisement du mental et des émotions associées à la douleur,
  • amélioration de la qualité du sommeil et de la récupération,
  • renforcement du sentiment de sécurité intérieure.

Cette approche holistique ne se substitue pas à un suivi médical, mais elle complète efficacement les soins conventionnels, en aidant le corps à mieux coopérer avec lui-même.

Un accompagnement personnalisé entre Marseille et la Suisse

À Marseille comme en Suisse, j’accompagne des personnes souffrant de douleurs du dos, de migraines, de tensions cervicales ou articulaires.
Certaines viennent pour des douleurs anciennes, d’autres pour des gênes ponctuelles liées au stress ou à la posture.

Chaque séance est adaptée : je travaille parfois sur des zones précises, parfois sur l’ensemble du champ énergétique pour réaligner le corps dans sa globalité.
Le soulagement est souvent progressif, mais toujours accompagné d’un mieux-être général.

Apaiser sans forcer, guérir par le calme

Le Reiki ne cherche pas à supprimer la douleur par la force, mais à redonner au corps sa capacité d’autorégulation.
Dans cet espace de calme, le corps retrouve sa cohérence, et la douleur perd son emprise.

J’aime dire que le Reiki ne “fait” pas disparaître la douleur : il rappelle au corps comment aller mieux.
Et quand l’énergie circule à nouveau, il n’y a plus rien à combattre — juste à ressentir, doucement, le retour du bien-être.